Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Animaux

  • Dana Hastier, la dame de FeR3

    Pin it!

    Au lendemain des 40 ans de "30 Millions d’Amis", Dana Hastier, patronne de France 3, annonce la suppression définitive de l'émission à partir de juin 2016.

    "Rendons à la cause animale toute la place qu'elle mérite sur le service public, battez-vous contre la disparition de l'émission 30 Millions d'Amis, signez notre pétition. Si 30 Millions d'Amis retrouve sa place sur une chaîne du service public, ce ne peut être que grâce à votre exceptionnelle mobilisation !"

    #30millionsdamis

    CYOAOUzWYAErplE.jpg

     

    Lire la suite

  • 75 bovins pris en charge par 30 Millions d’Amis

    Pin it!

    La Fondation 30 Millions d’Amis se porte au secours de 75 bovins vivant dans de très mauvaises conditions dans une laiterie, en Ille-et-Vilaine (23/06/2015).

     

    75 bovins, principalement des vaches laitières, sont secourus à Bruc-sur-Aff (35). Intervenant sur arrêté préfectoral, la Fondation 30 Millions d’Amis est pleinement mobilisée pour organiser le sauvetage de ces animaux qui seront ensuite confiés à l’OABA (Oeuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs). Lire la suite

    Depuis le début 2015 ce sont 866 bovins et 106 ovins-caprins qui ont été confiés à l’OABA par les autorités administratives et judiciaires.

     

     

  • Les coulisses des élevages d'animaux de compagnie

    Pin it!

    logo-PETAFrance.gifEnquête dans les sombres coulisses des élevages d'animaux de compagnie

    petaFrance-animals-in-commerce-bird-420x195.jpg

    "Une enquête clandestine menée par PETA Allemagne en Allemagne et aux Pays-Bas au sein d'une quinzaine d'élevages et de grossistes fournissant des "nouveaux animaux de compagnie" à des petites animaleries ainsi que des chaînes de magasins a révélé la cruauté de cette industrie et conduit à un dépôt de plainte de la part de PETA Allemagne contre 11 établissements.

    Un des élevages visités par PETA Allemagne est le fournisseur de 28 animaleries en France appartenant à :

    Jardiland

    Baobab

    Villa Verde

    Gamm vert

    Delbard

    SO-JA 

    Côté Nature 

    > Lire la suite de l'article sur le site Peta-France

    Découvrez la cruauté du commerce des nouveaux animaux de compagnie en France.
    Assurez-vous de ne pas prendre part à cet horrible commerce en vous engageant à ne jamais acheter des animaux et à toujours choisir d'adopter dans des refuges : http://bit.ly/1QsR2V9

     

  • La catastrophe des fermes-usines

    Pin it!

    logo.png

    Il faut relaxer les neuf inculpés de la ferme des Mille vaches

      José Bové, Jean-Luc Mélenchon, Emmanuelle Cosse, Olivier Besancenot, et des dizaines d’autres

    Le 17 juin, neuf militants de la Confédération paysanne doivent comparaitre devant la cour d’appel d’Amiens suite aux actions menées sur le site de l’usine des 1000 vaches en Picardie. Poursuivre et condamner ces actions de protestation, c’est mettre en cause la liberté d’action syndicale et le droit à la contestation politique. Les Neuf doivent être relaxés.

    Collectivement, la Confédération paysanne a pris la responsabilité d’agir là où les pouvoirs publics laissent s’installer des fermes-usines qui condamnent les paysans à disparaître. Sous prétexte de compétitivité, le lait devient ici un sous-produit du lisier transformé en énergie dans le méthaniseur accolé à l’usine. Et puisqu’il ne vaut rien, il est bradé, et cette concurrence fait chuter les prix du marché bien en deçà des coûts de production des éleveurs. De toute manière, l’industrialisation se passe des paysans et de leurs savoir-faire…

    A cela s’ajoutent les conséquences sanitaires avec une mortalité du bétail bien supérieure à la moyenne, et environnementales avec une énorme concentration de rejets à quelques encablures de la baie de Somme, le tout allègrement financé par les subventions publiques.

    Ces paysans ont pris sur eux de dénoncer cette situation ; d’agir dans l’intérêt général, sans violence, en légitime défense contre ce qui les condamne, en légitime citoyenneté pour défendre le droit de chacune et chacun à bénéficier d’une alimentation saine et d’un environnement préservé, dans des territoires vivants.

    Mais pour quelques pièces démontées sur des machines et un tag géant, ils risquent aujourd’hui plus de 250 000 euros de dommages et intérêts, au titre du manque à gagner, et sont menacés de peines d’emprisonnement… A cela s’ajoutent des poursuites pour refus de prélèvement ADN… La justice accepte donc de transformer une mobilisation citoyenne en vandalisme et veut soumettre des militants syndicaux au fichage systématique auquel seule la délinquance financière échappe !

    Quel aveu d’impuissance ! Interpellés sur le terrain politique sur des enjeux fondamentaux touchant à l’environnement, à la vie des territoires, à l’alimentation et à l’agriculture que nous voulons, les pouvoirs publics ne peuvent répondre que par la répression pénale.

    Répression sur les Zad, interdiction de manifestations, arrestations en série ; rien de cela ne constitue une réponse acceptable vis-à-vis de ceux qui n’ont d’autre objectif que de continuer à exister, de vivre dignement de leur métier, de défendre leur environnement. Face à la toute puissance du libéralisme, aux tentatives de criminalisation du mouvement social à coups d’interdictions administratives et de condamnations judiciaires, nous disons : c’est assez. La pénalisation de ceux qui s’expriment et contestent ne fera disparaître ni les sujets de débats ni les motifs de contestation.

    A six mois d’une conférence internationale pour le climat dont la France ne cesse de vanter l’importance, la pénalisation de militants syndicaux mobilisés pour la défense de l’environnement est en soi hautement problématique. C’est nier le rôle essentiel du monde paysan, cultiver le déni face aux mouvements de mobilisation qui, dans leur diversité, plaident pour d’autres approches de la consommation, d’autres modes de production qu’une industrialisation à tout va, et sont attentifs à ce que la justice ne cautionne pas l’acharnement et l’arrogance de groupes industriels.

    C’est pourquoi nous demandons la relaxe des neuf militants de la Confédération paysanne. Nous le demandons en défense de ce droit inaliénable qu’est la liberté d’expression de la contestation ; en défense de ce droit inaliénable à prendre des mesures contre ce qui nous menace ; pour préserver notre capacité collective à débattre des innombrables façons de construire et préserver l’avenir.

    Relaxe, donc ! Relaxe pour les neuf militants de la Confédération paysanne. Au nom de la justice des hommes, de l’avenir de toutes et tous, au nom des générations futures.

    Sur le site Reporterre, la liste des signataires :
    http://www.reporterre.net/Il-faut-relaxer-les-neuf-inculpes-de-la-ferme-des-Mille-vaches

  • Ferme-usine des Mille vaches

    Pin it!

    Ferme-usine des Mille vaches : animaux maltraités, salariés harassés.

    Témoignage accablant sur le site Reporterre. Et la réponse de Michel Ramery, propriétaire de la ferme-usine,  qui relativise les faits rapportés.

    >  Aux Mille vaches : « Ils m’ont traité comme un chien et ils maltraitent les vaches »,  par Marie Astier (Reporterre)

    vache_barrie_re_v_1-73ebe.jpg

  • Industrialisation de l'agriculture : dérive destructrice pour les paysans

    Pin it!

    Confédération Paysanne
    http://www.confederationpaysanne.fr/actu.php?id=3347

    archive 20/02/2015

    Carte de l'industrialisation de l'agriculture : Une dérive destructrice pour les paysans

    3992716853.pngA la veille de l’ouverture du Salon de l’agriculture, la Confédération paysanne rend publique la carte de l’industrialisation de l’agriculture. Certes non exhaustive, elle met cependant en évidence comment, au-delà du symbole des 1000 vaches, une agriculture destructrice se met en place. La Loi Macron (articles 27 à 30) et les récentes annonces de Manuel Valls démontrent clairement que cette dérive correspond à la volonté du gouvernement.

     

    logo_non_indus.jpg

     

    3992716853.pngIl y a donc une réelle intention de livrer notre métier aux mains d'industriels plus soucieux de leurs parts de marché que de l'emploi, de l'alimentation ou de l'environnement. L'exemple de la pieuvre Sofiprotéol (avec sa nouvelle entité Avril) est particulièrement parlant. Producteur d'aliments, fournisseur de conseils et de débouchés, financeur, la société du Président de la FNSEA* s'accapare la production et la valeur ajoutée au mépris des paysans.

    Mais cette carte n'est que la partie immergée d'un énorme iceberg. Quotidiennement, les paysans sont poussés par la profession agricole, les banques et les politiques vers l'agrandissement, la modernisation à outrance et la déconnexion de leur métier, accentuant leurs difficultés.

    Avec des paysans plus fragiles, qui deviennent les travailleurs à façon de l'agro-alimentaire, et moins soutenus par les pouvoirs publics que les projets industriels, le calcul est vite fait. Sous couvert d'une prétendue compétitivité, le gouvernement fait le choix d'une agriculture de production sans producteurs, à quoi s'ajoute un déni des préoccupations environnementales et climatiques.

    Pourtant, les solutions existent avec l'agriculture paysanne, autonome, relocalisée, respectueuse de ses travailleurs. C'est pour eux, avec le soutien d'une large majorité des citoyens, que la Confédération paysanne poursuit son combat.

    *

    AGIR !

    Nos fermes ne sont pas des usines !

    La ferme-usine des 1000 vaches est devenue un symbole : celui de l'industrialisation de l'agriculture. Un élevage démesuré, voué à alimenter un méthaniseur sur-subventionné, du lait écoulé à prix cassé, et aucun paysan à l'horizon.

    Mais c'est toute l'agriculture que les politiques actuelles poussent à l'industrialisation, et donc à la disparition des paysans.

    Les semences que les industriels reproduisent à notre place niant des millénaires de savoir-faire paysan ; les OGM qui imposent l'usage d'herbicides ; le puçage électronique obligatoire des animaux, adapté seulement aux gros troupeaux ; la règlementation sanitaire qui favorise les aliments industriels au détriment des produits fermiers ; la Politique agricole commune qui exclut les fermes moyennes et diversifiées en continuant d'engraisser les plus nantis…

    En amont (semences, intrants), comme en aval (agro-alimentaire), les industriels se sont installés dans notre métier. Aujourd'hui, c'est à la production qu'ils s'attaquent ! Le modèle des 1000 vaches, même s'il ne récolte que peu de soutiens affichés, est celui vers lequel nous sommes incités à nous tourner. Avec la fin des quotas laitiers en 2015, on pousse les producteurs de lait à l'agrandissement, à la modernisation, à des investissements sans limite qu'une improbable croissance des marchés d'exports serait sensée justifier !

    Mais n'a-t-on donc rien appris du passé ? Ne sait-on plus ce qu'est une crise de surproduction ? Envisage-t-on de produire à la place des paysans des autres pays ? Va-t-on vraiment oublier notre vocation : produire une alimentation de qualité ? Croit-on que les conditions de travail sont meilleures dans une usine ? Peut-on se passer de paysans ?

    La Confédération paysanne dit NON ! Nous faisons le choix de nous battre, de prendre nos responsabilités pour que l'agriculture reste le métier des paysans. Nous le faisons pour notre avenir, mais aussi pour le vôtre ! SOUTENEZ-NOUS !

    Ensemble nous pouvons contribuer à ce changement !

      Cliquez ici pour signer l'appel

    Procès 1000 VACHES du 17 juin 2015,

    Relaxe pour les 9 d’Amiens !

    logo-envie-de-paysans.png

  • Mode, fourrure et sadisme

    Pin it!

    Communiqué et pétition 30 millions d'amis

    FEAB9F27-03A9-4DAA-BAC8-ED47899E0665.png&sa=X&ei=t91LVdX7C8uwUdnPgKgB&ved=0CAkQ8wc&usg=AFQjCNEesSB1WfdND2VUzPR5brFFEhO7zAA l’heure où les maisons de couture viennent de présenter leurs collections pour l'automne-hiver 2015/2016, force est de constater qu’elles utilisent toujours plus de fourrure. La Fondation 30 Millions d’Amis dénonce le massacre de millions d’animaux pour alimenter ce commerce scandaleux… et inutile ! Signez notre pétition.

    On aurait tort de penser la fourrure « has been » : la voilà de retour ! Elle réapparaît de façon insidieuse sur les cols des capuches, à l’intérieur des chaussures, sur les revers de sacs à main. Plébiscitée par les marques fétiches des jeunes, elle a fait fureur cet hiver dans les vitrines... et un carnage chez les animaux. Et cette tendance n’est pas près de s’arrêter puisque les grandes maisons de couture prévoient encore d’utiliser sans retenue de la vraie fourrure dans leur prochaines collections.

     

     

    Pétition : 
    Pour la fermeture des fermes à fourrure en Europe,
    Je signe
    >>

    A l'attention des Ministres Français de l’Agriculture et de l’Environnement ainsi que du Président de la Commission Européenne

    En 2007, grâce à l’action de la Fondation 30 Millions d’Amis et à une pétition ayant recueilli 1.400 000 signatures, une prise de conscience des institutions européennes a permis la mise en place d’une réglementation stricte interdisant le commerce de fourrures de chiens et de chats en France et en Europe.

    Aujourd’hui la Fondation continue de dénoncer le massacre de près de 56 millions d’animaux par an dont 90 % sont dépecés pour fabriquer de simples garnitures de manteaux ou de chaussures. La fourrure redevient à la mode et de nombreux consommateurs n’ont pas conscience des terribles souffrances qui se cachent derrière leurs vêtements.

    J’associe donc mon nom à celui de la Fondation 30 Millions d'Amis pour vous demander : d’une part la fermeture des 6000 fermes à fourrure en Europe. Et d’autre part un étiquetage détaillé pour tous les produits en fourrure importés précisant le nom scientifique et vulgarisé des espèces animales, le pays d'élevage, la méthode de mise à mort (gazage, électrocution...) et le nombre d’animaux utilisés.

    Téléchargez la pétition Pour une fermeture des fermes à fourrure en Europe en PDF pour la signer et la faire signer autour de vous

    fourrure-ratons-rz-800.jpg

    Une industrie impitoyablement cruelle

    Visons, renards, lapins, castors, chinchillas, lynx, zibelines, coyotes, ratons laveurs, putois, sans oublier les chiens et les chats en Asie… Dans le monde, 56 millions d’animaux laissent leur peau chaque année pour garnir nos vêtements !

    Dotée d’une excellente réputation dans l’industrie des vêtements d’hiver, la marque Canada Goose est très en vogue chez les jeunes. Ce que l’on sait moins, c’est qu’elle serait la principale complice d’une industrie impitoyablement cruelle. Car derrière ses doudounes et ses capuches en fourrure se cache une sombre réalité : le piégeage des coyotes au Canada. Capturés à l’aide de pièges à mâchoires, les animaux restent coincés, mutilés, terrifiés et affamés pendant des jours durant, jusqu’à ce que les trappeurs les trouvent. Souvent, les mères rongeront leurs membres pour tenter de rejoindre leurs petits.

    Avertir le consommateur…

    Les animaux sont ensuite matraqués, étranglés ou abattus pour servir les commandes d’une mode sans pitié. Le président de Canada Goose, fervent défenseur de ses produits, affirme dans un courrier adressé à l’association PETA, que la fourrure de coyote tient beaucoup plus chaud que n’importe quel tissu synthétique et argue que le piégeage des coyotes est une coutume vieille de centaines d’années. Il ne voit donc nullement pourquoi ces pratiques seraient remises en question !

    Les associations de protection animale ne cessent de sensibiliser les consommateurs, souvent mal informés et complices, malgré eux, de ces atrocités. Peu d’entre eux ont conscience des terribles souffrances qui se cachent derrière un seul de ces manteaux. C’est donc à chacun de nous de sensibiliser notre entourage ! Car un bon consommateur est un consommateur averti.

    … le combat de la Fondation 30 Millions d’Amis

    Depuis de nombreuses années, la Fondation 30 Millions d’Amis sensibilise l’opinion publique à l’ignominie de cette industrie impitoyable… Elle souhaite, malgré tout, poursuivre le dialogue avec les marques et travailler avec elles de manière constructive afin de les convaincre que les consommateurs mieux informés, finiront par rejeter cette débauche inutile de vies. Son but est également d’encourager de nouvelles techniques qui épargneraient bien des souffrances aux animaux. Par exemple, la marque The North Face qui n’utilise pas de fourrure pour les cols de ses doudounes a mis au point une technologie de synthèse révolutionnaire : Thermoball permet en effet de remplacer le duvet, également source de cruauté.

    56 millions d’animaux sont massacrés chaque année pour garnir nos vêtements

    Sensibilisées à cette cause, de nombreuses marques comme Chevignon, Kookaï, Zara, H&M, Caroll ou Etam ont récemment annoncé la fin de la commercialisation des articles en vraie fourrure. Mais d’autres enseignes font la sourde oreille et continueraient à encourager ces pratiques cruelles telles Comptoir des Cotonniers, Aigle ou encore Napapijri.

    Considérés avant tout comme des marchandises et une source de profit, les pauvres animaux souffrent de conditions de vie misérables avant de connaître le pire des trépas. Pendaison, rupture de nuque, gazage, injection, empoisonnement... Tous les moyens sont bons pour tuer sans abîmer les peaux. Dans certains pays, les animaux sont électrocutés, subissant d’atroces brûlures internes avant de rendre leur dernier souffle. En Russie, l’abattage des renards s’effectue par empoisonnement au dithillinium, un produit qui paralyse mais ne tue pas, afin de faciliter le travail de dépeçage des éleveurs.

    Signez la pétition

    C’est pourquoi la Fondation 30 Millions d’Amis vous encourage à signer dès aujourd’hui sa pétition réclamant la fermeture des élevages d’animaux pour leur fourrure en France et en Europe. Et pour montrer enfin, le véritable visage de cette industrie sans pitié, la Fondation demande également, pour les produits importés, la mise en place d’un étiquetage détaillé précisant le nom scientifique et vulgarisé des espèces animales, le pays d'élevage, la méthode de mise à mort (gazage, électrocution...) et le nombre d’animaux utilisés.