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Témoignages

  • Les coulisses des élevages d'animaux de compagnie

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    logo-PETAFrance.gifEnquête dans les sombres coulisses des élevages d'animaux de compagnie

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    "Une enquête clandestine menée par PETA Allemagne en Allemagne et aux Pays-Bas au sein d'une quinzaine d'élevages et de grossistes fournissant des "nouveaux animaux de compagnie" à des petites animaleries ainsi que des chaînes de magasins a révélé la cruauté de cette industrie et conduit à un dépôt de plainte de la part de PETA Allemagne contre 11 établissements.

    Un des élevages visités par PETA Allemagne est le fournisseur de 28 animaleries en France appartenant à :

    Jardiland

    Baobab

    Villa Verde

    Gamm vert

    Delbard

    SO-JA 

    Côté Nature 

    > Lire la suite de l'article sur le site Peta-France

    Découvrez la cruauté du commerce des nouveaux animaux de compagnie en France.
    Assurez-vous de ne pas prendre part à cet horrible commerce en vous engageant à ne jamais acheter des animaux et à toujours choisir d'adopter dans des refuges : http://bit.ly/1QsR2V9

     

  • Zépure Medzbakian l'Arménienne

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    "Zepur Medzbekian avait 95 ans en 1995 lorsque Zoé Varier l’a rencontrée à la maison de retraite arménienne de Montmorency. C’est un des témoignages les plus bouleversants de l’histoire de Là-bas si j’y suis. A écouter sur le site

     C’est d’abord quelque chose de profond qui passe entre Zepur et Zoé, puis toute l’émotion, la force et la précision de ce témoignage à vif et à nu qui a frappé des millions d’auditeurs, qui pour beaucoup ont découvert alors le génocide des Arméniens par la voix de Zepur et son « français cassé ». 

    « Quand je suis partie, j’étais seule, (...) j’avais juste un tablier de l’école et un manteau, j’avais 14 ans.(...) 

Un mois après j’ai trouvé ma mère dans un autre groupe, toute nue, une chemise de nuit, les cheveux, il n’y a pas de peigne pour peigner, j’ai senti comme une mendiante ma mère, 
j’étais très bouleversée. Alors comme ça nous sommes ensemble, continuer notre chemin. J’avais deux frères, deux sœurs plus petits que moi. 

Après huit jours à peine, mon frère est mort, huit ans, le matin je suis levée, il est mort à côté de moi. (...) 
Après quelques jours, c’est ma mère mort ou pas mort je ne sais pas. Nous sommes tombés dessus pour pleurer et le gendarme est venu "Allez ! Marchez ! Marchez !" (...) En pleurant nous avons quitté ma mère qui était mort ou pas mort, je ne sais pas. "Allez ! Marchez ! Marchez !" Qui est mort, il reste ! Ma mère était chaude quand nous sommes partis (...) on a pas laissé même pleurer un peu. »

    >  Dans la série Mémoire de l’émission de Daniel Mermet « Là-bas si j'y suis ».

    > Sur le site Collectif VAN - Vigilance Arménienne contre le Négationnisme, des retranscritpions de l'interview de Zépure Medzbakian ansi que sur le site sur le site Airgrige